Tout le produit frais moins l’eau.
Le premier ressort de la dynamique Supersec est le postulat suivant : le produit séché (considérons le champignon) n’est pas un pis-aller du produit frais, mais plutôt une version amplifiée de ce produit. Il n’est pas moins, mais plus. Il faut entre 12 et 20 kg de champignon frais pour faire 1 kg de champignon séché (la bonne moyenne se situant entre 15 et 18). Le coût énergétique lié à leur transport est donc substantiellement diminué. Lorsqu’ils sont séchés dans de bonnes conditions et dans les heures qui suivent la cueillette, ils conservent leur potentiel aromatique et nutritif, et ne s’abîment pas pendant le transport.
Les champignons contiennent entre 80 et 95% d’eau, diluant à la fois leur saveur et leur potentiel nutritif. En éliminant cette eau, les valeurs gustatives et nutritionnelles se concentrent formidablement.
Convaincu ? Alors, laissez-vous tenter par un (ou quatre) plat prêt à cuisiner. Accompagnez ceci de délicieuses tablettes de chocolat, de croquants de sésame et/ou de risoni pour varier les plaisirs !